vendredi 12 décembre 2014

Ti-doigt !


Depuis août 1991, je me suis souvent lacéré l'épiderme vieillissante.  Ceux qui me connaissent, se diront, à la lecture de ce texte, ¨jusse ça !¨

Eh oui !

Avant de tomber dans le vif du sujet, en l'occurence ma peau, j'avoue que cette dernière coupure, j'en parlais ici, aura été la + handicapante.

C'est que les phalanges marquées de points noirs sont lacérées.  C'est ce qu'on appelle médicalement une fracture ouverte.  Donc, vous apercevez un point noir sur l'os de la main et l'autre est en-dessous, sous l'os de la main.  Cependant, l'image de la main colorée est la gauche, ben moi, c'est la droite.

ceci n'est pas une radiographie.

Ce, à la veille d'une retraite que plusieurs entrevoient à ma place.

Je reviens donc à ma peau vieillissante.  La lacération la plus gravissime, c'est le dessus de la tête. Voilà, je transporte une vitre rectangulaire (1m x 2m), et elle frappe le plafond.  Non, ce n'était pas pour contester la loi de la gravité. L'un des fragments de 5 mm a rebondi sur mon crâne sanguinolent. Heureusement, le morceau n'est pas rester là.

La seconde blessure marquante a fait rire toute ma petite famille à mon retour du Lac.  Mon nez est encore marqué.  Je dirais plutôt mon bout de nez.  Et un bout de nez, ça saigne, ça saigne, un bout de nez, ça saigne énormément.  Ah, le rire venait du fait que j'avais un gros point noir, gros comme un trente-sous, sasse-peux-tu-ça ?  En tous les cas y ont ri.  Pour ceux que ça intéresse, non je n'ai pas ramassé ce bout de nez.  Je l'ai laissé au client, niaiseux...

Les autres coupures sont presque banales mais ont laissés des traces, surtout les mains.  L'enfer...

Pour l'instant, je ne suis pas à plaindre même avec une attelle comme ici.  Bonne nuit !


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